31 Janvier 2019
Quelques pistes de réflexion :
• Distinguer plaisir et bonheur.
• Apprendre à utiliser les émotions comme signaux d’alarme qui peuvent donner à la conscience l’énergie pour laisser parler le néocortex.
• Se méfier de la méfiance, surtout vis-à-vis de soi-même. Préférer la prudence à la méfiance.
• Donner de la place au silence.
• Donner de l’espace au temps, au lieu de se goinfrer d’activité.
• Respecter la différence, la sienne et celle des autres, au lieu de la gommer chaque fois qu’on peut.
• Refuser systématiquement tout sentiment de culpabilité. Ce sentiment n’est jamais pertinent : autant on peut être coupable aux yeux des autres, autant on ne peut l’être à ses propres yeux, puisque, par définition, ce qu’on a fait, on ne pouvait le faire autrement.
• Eviter la dramatisation, procédé favori du dressage, ambiance favorite du cerveau limbique.
• Affronter ses peurs, source de tout blocage.
• Utiliser l’art sous toutes ses formes, pour explorer et exprimer sa personnalité profonde.
• Se méfier des mots qui sont des univers de croyances, et des pièges considérables dans l’accès à soi-même.
En avez-vous d'autres ?